LES CORRECTIONS
Voilà une étape que l’auteur ne devra pas négliger pour donner du sérieux à son travail littéraire. Un livre constellé de phote d’aurtografe, de grammaire ou de vocabulaire ne fait pas sérieux. Je conseillerais déjà à l’auteur qui souffre de lacunes dans ces domaines, de régler le problème en amont, en prenant des cours. Les difficultés qu’il rencontre ne sont peut-être pas aussi insurmontables qu’il/elle le croit et Internet, avec ses multiples tutoriels et sites d’apprentissage de la langue, peut déjà améliorer la situation. Ceux qui s’en sortent peuvent aussi prendre des cours pour s’améliorer : il y a toujours à apprendre. En ce qui me concerne, j’ai eu l’initiative de faire un stage et j’ai eu la chance d’avoir parmi mes formateurs, Jean-Pierre Colignon, un des correcteurs de la dictée de Pivot. Avec un livre, il faut parler de corrections au pluriel, et ce n’est pas avec l’orthographe, ni les coquilles, que l’on commence, mais avec le fond.